Ce soir, j'ai envie de parler du seul point commun qui nous uni tous, celui que nous partageons tous : La différence.
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J'aime les gens qui dérangent. Qui osent. Qui assument.
Alors s'il te plait, dis moi. Comment comptais-tu t'y prendre pour me piéger dans tes filets ? Je suis curieuse. Regarde-moi et dis-moi quelle partie de ton corps pourrait m'attirer ? Pensais-tu que tes grosses voitures me feraient voyager ? On m'a souvent expliqué que le meilleur moyen de ne pas avoir peur était de chercher à comprendre
Ne crois pas que ce sont mes désillusions qui me font parler.
Ce n'est pas parce que je rencontre plus de mal que toi à changer mes habitudes bien ancrées que je n'y crois plus. Ce n'est pas parce que je me suis lassée de crier mon désarroi que je n'espère plus. Au contraire. Je crois en en toi. Il y a un peu plus de 10 ans, j'ai suivi un régime hyperprotéiné, encadré par mon généraliste spécialisé en nutrition. Là, tu te demandes si je vais vraiment te parler d'un régime vieux de 10 ans, hors saison et, en plus, juste avant les fêtes. Je comprends. Alors rassure-toi, non, ce n'est pas l'idée. Ce régime a porté ses fruits et clôt une période de ma vie. Je n'ai pas le truc des visages ou plutôt, je ne suis pas physionomiste, devrais-je apprendre à dire (dans le sens qui se souvient des visages, pas dans le sens habile à juger ou employée de casino hein !).
La vérité c'est que, hors contexte, je ne reconnaîtrais pas ma mère ! Le truc, c'est que les gens ne perçoivent pas l'étendue du concept qui m’atteint. Quand je dis ça, je n'exagère en rien, vraiment, il m'est arrivé de rencontrer ma mère et de me dire "c'est drôle, ce visage me dit quelque chose". Ou encore croiser le père de ma fille et ne pas le saluer... sissi. Il n'avait rien à faire là, ce n'était pas attendu. Alors je ne l'ai même pas remarqué. Ça y est. J'ai la preuve que ce n'est pas qu'un caractère. Non.
Je suis une fichue conservatrice obstinée qui ne lâche rien jusqu'au fond de ma moelle. Et ce n'est pas une façon de parler. Il a eu beau ponctionner encore et encore, changer de champ pour recommencer... P#* je n'ai RIEN LACHÉ !! C'est Ma moelle. Aussi tête de lard que moi. (aïe) Heureusement pour le doc, les os de mes hanches sont des lâches... Tu me fais du bien autant que tu me tues. Vacillant d'un bout à l'autre, tu maintiens ce cruel équilibre à la perfection, me gardant prisonnière de cette liberté, dépendante de cet amour que je tiens enfermé, te regardant l'oublier.
Penche. Penche d'un côté ou de l'autre mais ne vacille pas. Ligote-moi de ta chair ou détache-moi de toi. Je ne peux pas être prisonnière et affranchi à la fois. Je sais que seule la raison amènera la trêve, que la séparation est nécessaire Qu'il faut simplement que je nous libère. J'ai déjà vu fleurir trop de saisons, attendant de voir faner notre passion. - une fleur qui ne peut pas mourir ça existe ?
- ben non. - un arbre ou une autre plante ? - non plus. - Et un lampadaire ? - Un lampadaire ne pas mourir puisqu'il n'est pas vivant. C'est le principe. - ... ah. Alors je voudrais que toi et moi on soit des lampadaires. Tu veux bien ? ... émoticône heart Souvent, je la regarde. Et souvent, je me dis qu’elle doit être un papillon.
Ses premiers jours, je l’ai observée des heures entières d'affilée sans jamais me lasser, comme une petite fille observe un papillon sur le lilas. Puis il y a ce lien. C’est intense. En moi. Incontrôlé. L’effet d’un battement d’ailes de papillon au milieu de ceux de mon cœur. Parfois les ailes s'emballent, d’autres fois elles s’arrêtent et tour à tour mon cœur se sert, s’apaise, se précipite… Comment se fait-il que malgré tout ce que je sais maintenant, il te suffit de débarquer un soir avec ton air paumé et tes maladresses pour que je me demande si je ne devrais pas remettre mes choix en question ?
Ce n’est pas juste. Je n’ai pas de tort dans cette histoire. En tout cas aucun qui ne justifie que je sois torturée. Ni mensonges ni stratagèmes.
C'est la promesse que je t'ai faite alors que je te portais encore. Même ce Noël, lorsque tu m'as demandé : "Dis maman ? Toi, tu crois au père Noël ?" Je t'ai répondu sans hésiter que je croyais à la magie de Noël, à l'esprit de Noël et que peu m'importait le nom qu'on lui donnait ou la forme qu'il prenait. Il a quelque chose de magique cet esprit. J'ai bien vu que tu étais restée un peu perplexe, que tu avais senti que quelque chose t'échappait. Mais j'espère que le jour ou tu sauras que le gros monsieur dans son manteau rouge et blanc n'a jamais mis les pieds dans notre cheminée, tu comprendras qu'il existe d'une autre manière. Que le père-Noël c'est moi, c'est papa, marraine, mamie... Qu'il est en chacun nous. Qu'une fois que tu connais le secret, il est en toi aussi. Se traîner. S'emmitoufler. Elle est déjà malade.
La regarder sautiller. Se prendre direct une boule. Râler. Encore une. On va être tremper. La voir sourire. Sortir la luge. Se surprendre : il ne fait pas si froid. Quelques descentes. Ses yeux qui pétillent. La grande descente. Des cris. Des rires. Se laisser rouler. Depuis quand fait-il nuit ? Une dernière... Puis un chocolat chaud, un lait cannelle. Cette petite finira-t-elle par réussir à me faire aimer la neige ? - A la surface de l'eau, je t'implore et m'en remets à toi miroir, oh! mon beau miroir. Toi qui reflète nos âmes, apporte moi les réponses. Mes larmes se confondent à tes entrailles et je me demande parfois si tu les sens te pénétrer, tenter de se mélanger à toi. Les rejettes-tu lorsque tu t’aperçois que leur sel est différent du tien ? Comment m'as-tu faite ? Mon chant n'attire pas les marins sur tes écueils et toutes les douces créatures de tes profondeurs me repoussent tour à tour. Ma mer, je t'en conjure, cesse de t'agiter. Garde ta surface lisse un instant pour me dévoiler. Montre-moi laquelle de tes espèces je suis. C'est ainsi qu'elle découvrit son image. Au calme, sur cette étendue marine. Elle s'était simplement égarée. Elle ne portait pas sur elle le rêve que promettent les sirènes. Elle n'était pas faite ainsi. Tout en elle désignait la cruauté à laquelle elle était destinée. Tout, à l'exception du fond de ses yeux qui la trahissait. C'est ainsi qu'elle compris. Pour survivre, elle devait accepter son genre et retourner à sa place. Et ainsi, depuis ce jour, Plus jamais l'océan n'a senti une seule de ses larmes. Ça y est. Je l'ai chopé.
Le femme idéale. La blonde dont j'ai toujours rêvé. Ma blonde. La plus belle femme de la terre. Elle a le physique à faire pâlir les plus grands top de ce monde. Celui-là même sur le quel la bande de jeune puceau s'astique avant de dormir. Y a rien qui dépasse. Rien qui manque. Le tout enveloppé pour former un ensemble merveilleusement équilibré. D'ailleurs c'est son secret. L'équilibre. Tout est parfaitement dosé, toujours très approprié. Elle est le fantasme mal caché des copains et l'exemple de classe et de bienveillance des copines. |
Mes tentatives d'écrits
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