- une fleur qui ne peut pas mourir ça existe ?
- ben non. - un arbre ou une autre plante ? - non plus. - Et un lampadaire ? - Un lampadaire ne pas mourir puisqu'il n'est pas vivant. C'est le principe. - ... ah. Alors je voudrais que toi et moi on soit des lampadaires. Tu veux bien ? ... émoticône heart
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Ça y est. Je l'ai chopé.
Le femme idéale. La blonde dont j'ai toujours rêvé. Ma blonde. La plus belle femme de la terre. Elle a le physique à faire pâlir les plus grands top de ce monde. Celui-là même sur le quel la bande de jeune puceau s'astique avant de dormir. Y a rien qui dépasse. Rien qui manque. Le tout enveloppé pour former un ensemble merveilleusement équilibré. D'ailleurs c'est son secret. L'équilibre. Tout est parfaitement dosé, toujours très approprié. Elle est le fantasme mal caché des copains et l'exemple de classe et de bienveillance des copines. La saint valentin est une fête commerciale pour les pigeons. Bon. Peut-être.
Mais moi, les us, les coutumes les traditions et le fanfaron j’adore. Oui je suis comme ça. Alors avant de tout envoyer valdinguer comme ça, je voulais savoir à quoi je renonçais exactement. Premier constat, si la St-Valentin avait un compte Facebook, on pourrait assurément lire en situation amoureuse : « c’est compliqué ». Alors j’ai fait le ménage, et j’ai gardé ce qui me plaisait hein.. Pour commencer, la St-Valentin serait une autre tentative de camouflage d’une coutume païenne : « Christianisons un peu tout ça bon sang ! » Parce que oui, en fait, la St-Valentin c’est pas un truc pour les fleurs bleues, les romantiques. C’est pas une histoire innocente de chocolats, de roses rouges et de mots bleus. « Ses traditions et coutumes proviennent des deux festivals païens les plus pervertis sexuellement de l’histoire ancienne » : et ce n’est pas moi qui le dis ! La quasi totalité des gens que je connais s'accorde sur une chose : il faut casser la routine car il n'y a rien de plus emmerdant.
Mais comment sait-on qu'on y est ? Ou qu'on en est sortit ? Et pourquoi la fuir à tout prix ? Passer son temps à fuir la routine n'est-il pas une autre forme de routine ? Ne finit-on pas obligatoirement par inscrire un schéma ? Qu'il se dessine à travers un trop plein de soirées télés ou de soirées d'folie... Et puis, si la routine se situe dans le manque de plaisir que nous ressentons à force de répétitions, n'est-il pas suicidaire d'essayer de faire ce que nous aimons dans la vie ? Parce que, si faire au quotidien ce que nous aimons finit par nous ennuyer, vers quoi pourrons nous nous tourner pour casser la routine ? Peu importe la bouteille, la note sera amère...
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Mes tentatives d'écrits
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